"C'est la première fois depuis 2001 qu'un ministre de l'Agriculture se rend sur notre stand", s'est félicité Régis Hochart, porte-parole du deuxième syndicat agricole, proche des altermondialistes. Au programme de cet entretien : les agrocarburants, les problèmes de la filière ovine et le "bilan de santé" de la Politique agricole commune (Pac). M. Barnier a refusé de signer une pétition contre les Ogm en affirmant qu'il ne signait "jamais de pétition". "Je ne suis ni pour, ni contre, je veux que la recherche sur les Ogm se poursuive", a-t-il dit.
Le ministre s'est aussi rendu sur le stand de la Coordination Rurale, autre syndicat minoritaire, où ont été abordés les sujets de la Tva sociale et des semences fermières, dont nombre de paysans craignent la totale interdiction. Interrogé sur le problème de la représentativité des syndicats minoritaires, notamment au sein des interprofessions agricoles, M. Barnier a déclaré à l'Afp que le dossier était sur le bureau du Premier ministre François Fillon.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?