Cette mise à jour intervient après un premier communiqué du ministère de la Santé qui évaluait dans un premier temps le nombre de personnes identifiées à une quarantaine. A la suite d'un cas de rage confirmé le 26 février par l'Institut Pasteur chez une chienne dénommée Cracotte, l'enquête des services vétérinaires a permis de "remonter" de Cracotte, euthanasiée le 19 février et vivant à Grandpuits (Seine-et-Marne) "au cas de départ", a déclaré à l'Afp le Pr Houssin.
L'animal de départ dit "cas index", nommé Gamin, "qui avait été emmené puis ramené du Maroc où il a vraisemblablement contracté la rage, est mort le 12 novembre à Auch (Gers)", a-t-il précisé. Au moins trois chiens sont ainsi morts de la rage en France depuis le mois de novembre et d'autres sont peut-être porteurs, a indiqué le ministère de la Santé suite à une enquête vétérinaire. "Au total, 17 chiens sont sous surveillance", a précisé de son côté Monique Eloit, directrice générale adjointe de l'alimentation (services vétérinaires). Selon les autorités sanitaires, il "n'est pas exclu qu'il y ait d'autres chiens porteurs".
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?