 Des nouvelles références (© B.N., Terre-net) |
Les teneurs moyennes en éléments minéraux des cultures permettent de calculer des bilans minéraux et ainsi de diagnostiquer les pratiques de fertilisation et de suivre l’évolution des stocks d’éléments nutritifs dans le sol. Mais les valeurs actuellement utilisées pour les teneurs en P, K et Mg des organes végétaux récoltés étaient vieillissantes et d’origine mal connue. Le groupe P-K-Mg du Comifer a donc récolté des informations par voie d’enquête et de synthèse bibliographique pour actualiser les références.
Une évolution à la baisse
Les nouvelles références pour les teneurs en P et dans une moindre mesure pour les teneurs en K montrent une tendance à la baisse. Cela pourrait s’explique par l’évolution des pratiques de fertilisation et une meilleure efficience du phosphore et du potassium absorbé. Il en est donc ressorti un tableau de références pour les cultures de plein champ et les principaux fourrages. Le tableau synthétique de 4 pages sera téléchargeable prochainement sur le site du Comifer.
Attention !
Les références actualisées ne sont pas utilisables pour le calcul de la fertilisation suivant la méthode Comifer 1993 car les cœfficients de calcul de cette méthode ont été calés pour des teneurs en P et K des végétaux parfois très différentes. Une nouvelle grille de calcul de la fertilisation P – K est en cours d’élaboration.
|
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine