Le 12 octobre, les ministères de l'Agriculture et de l'Ecologie avaient décidé d'abaisser le niveau de risque de la grippe aviaire de "modéré" à "faible" sur l'ensemble du territoire à l'exception de cinq zones humides à risque prioritaire en Lorraine. Cette décision avait été prise compte-tenu de l'évolution favorable de la situation épidémiologique de l'influence aviaire à virus H5N1 hautement pathogène sur les oiseaux sauvages et en se fondant sur un avis de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments, avaient alors expliqué les deux ministères. Mais en dépit d'un retour au niveau de risque "faible" en Moselle, les détenteurs d'oiseaux dans les communes mosellanes concernées sont tenus de mettre en oeuvre certaines mesures de sécurité, a précisé la préfecture de Lorraine dans un communiqué. Ces mesures visent notamment à limiter le contact direct ou indirect entre les oiseaux sauvages et domestiques et à interdire l'utilisation des eaux de surface pour l'abreuvement des oiseaux ou le nettoyage du matériel d'élevage.
La France avait renforcé ses mesures de sécurité le 5 juillet après la confirmation de la découverte du virus H5N1 sur trois cygnes sauvages trouvés morts dans un étang à Assenoncourt (Moselle). Le niveau de risque avait été abaissé de "élevé" à "modéré" le 4 octobre, aucun nouveau cas n'ayant été détecté depuis août.
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