Les mesures de surveillance et de protection mises en oeuvre n'ont pas permis de déceler la présence du virus H5N1 hautement pathogène sur le territoire français depuis avril 2006, souligne-t-il dans un communiqué. Cette décision du gouvernement fait suite à un nouvel avis de l'AFSSA (Agence française de sécurité sanitaire des aliments) à la suite de sa saisine, le 5 avril dernier, compte tenu de la situation favorable observée dans l'Union européenne, ajoute le ministère.
La qualification du niveau de risque avait été rehaussé de "négligeable 2" à "faible" en février dernier lors de l'apparition d'un foyer d'influenza aviaire H5N1 hautement pathogène dans un élevage de dindes en Grande-Bretagne, rappelle-t-il. Le dispositif de surveillance et de prévention de l'influenza aviaire s'appuie sur une grille de mesures de protection des élevages, graduées en six niveaux de risque : négligeable 1, négligeable 2, faible, modéré, élevé, très élevé. Le transport des canards appelants, élevés par les chasseurs en vue d'être utilisés sur les plans d'eau pour attirer leurs congénères sauvages qui avait été interdit en février dernier, est donc à nouveau possible. De plus, les pigeons voyageurs français pourront être lâchés sans conditions quant aux lieux de lâchers ou de pays survolés.
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