A travers ce nouvel étiquetage, qui se veut informatif, « Le Cochon de Bretagne » met en avant les critères de sa charte de qualité.
Le Cochon de Bretagne en chiffres La société « Le Cochon de Bretagne » réunit en qualité d’actionnaires 12 groupements des producteurs de porcs de Bretagne et le marché du Porc Breton. Production de porcs charcutiers: 43.000 par semaine, dont 15.000 porcs charcutiers Ccp. Les porcs « Cochon de Bretagne » représentent 20 % de la production de porcs en Bretagne.
|
L’origine :
« Né et élevé en Bretagne », avec la volonté de garantir une viande de porc bretonne de grande qualité accessible à tous. Garantie quant à L’élevage : les éleveurs s’engagent à respecter les bonnes pratiques d’élevage pour le bien-être des animaux. Garantie quant à l’aliment des porcs élevés, grâce à une alimentation sans farine ni graisse animales, sans facteur de croissance et sans antibiotique,
« saine, rigoureusement équilibrée et contrôlée ». De même, les éleveurs « Cochon de Bretagne » tendent vers l’objectif « zéro nuisance », dans une démarche de préservation de l’air, la terre et l’eau, un critère désigné par le « Signe de Garanties » de l'environnement.
Informer et rassurer
Cette nouvelle identité visuelle a pour mission d’informer et de rassurer l’industriel et le consommateur. Pour l’industriel qui transforme la viande, le nouvel étiquetage « Le Cochon de Bretagne, Signe de Garanties » se veut une caution, une valeur ajoutée à sa marque, une mention valorisante sur la matière première qu’il emploie.
Du côté du consommateur, l’étiquetage a pour but d’informer rapidement et aisément dans le linéaire sur la qualité de la viande de porc « Le Cochon de Bretagne ». Il aussi pour objectif d’inciter le consommateur à la considérer avec confiance, comme un « Signe de Garanties ».
 Ces étiquettes pourront estampiller aussi bien des gammes de produits de viande fraîche que des produits élaborés, de charcuteries cuites, de salaisons, de plats cuisines à base de viande de porc « Cochon de Bretagne ». Tous les rayons sont concernés : coupe, frais-emballé et libre-service, pour les charcuteries et les plats cuisinés ; traditionnel, libre-service et UVCi (unité de vente consommateur industrielle), pour la boucherie et les viandes élaborées. (© DR) |
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine