L’enquête a mis en évidence une tendance haussière en 2005 et 2006 du poste énergie qui se situait en moyenne en 2004 à 2,10 €/ porc pour les 18 élevages interrogés (hors fabrique et station de traitement).
 86 % de la consommation électrique pour la ventilation et le chauffage (© Web-agri) |
Ce travail a permis de déterminer que
« le poste électricité pèse 86% du coût énergétique, le fuel, 10%, pour l’usage du groupe électrogène et des générateurs d’air chaud, et le gaz 4% ».
La répartition de la consommation électrique par poste montre que 86 % de la consommation électrique est consacrée à la ventilation et au chauffage, 9% à l’alimentation, 3% à l’éclairage et 2% pour les postes pompe de lavage – brasseur.
Plus précisément l’enquête montre que
« pour les 5 éleveurs qui fabriquent une partie de leur aliment, le coût énergie est augmenté de 11 kWh électrique par tonne d’aliment fabriquée soit 0,10 € par porc en moyenne ». De même «
le coût énergétique lié au traitement est très différent entre l’éleveur qui composte au tracteur par la méthode Guernévez (0,31 € / m3) et celui qui dispose d’une station biologique (0,65 € par m3) ».
Cette étude réalisée avec le soutien financier du CRP, du Conseil Régional de Bretagne et de l’ADAR est disponible auprès des Chambres d’agriculture de Bretagne au prix de 20 € TTC (frais d’envois compris) auprès de Sylvie Le Floch – sylvie.lefloch@finistere.chambagri.fr
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine