La circulation du virus West Nile est actuellement surveillée en France par un triple dispositif : humain, équin et aviaire.
Pour mémoire : en France, après l’épidémie humaine et équine en Camargue en 1962-1965, aucun cas humain ou équin n’a été détecté jusqu’en 2000. Au cours de l’été 2000, 76 cas équins ont été identifiés en Camargue. En 2003, 7 cas humains et 4 cas équins ont été signalés dans le Var. La dernière apparition du virus remonte à octobre 2004 et avait entraîné 32 cas équins en Camargue mais aucun cas humain.
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Six autres cas suspects sont signalés chez des chevaux du même département et font l’objet d’investigations, précise le ministère.
 Un cas de virus du Nil détecté chez un cheval (© Web-agri) |
Le virus West Nile infecte habituellement les oiseaux sauvages mais peut accidentellement être transmis à l’homme ou au cheval par piqûres de moustiques eux-mêmes contaminés auprès d’oiseaux infectés, rappelle le ministère de l'agriculture.
Il n’y a pas de transmission du virus du cheval à l’homme. Le virus West Nile n’entraîne chez l’homme le plus souvent qu’une infection inapparente ou banale (se manifestant par un syndrome grippal). Exceptionnellement, il peut entraîner une encéphalite.
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