Ils répondent ainsi aux souhaits des huit grandes puissances mondiales (Allemagne, Canada, Etats-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni, Russie) qui, réunies au sommet du G8 la veille à Saint-Pétersbourg, ont demandé à leurs négociateurs de faire preuve de « flexibilité » afin de parvenir aux grandes lignes d'un accord d'ici la mi-août.
Les dirigeants brésilien, chinois, indien, mexicain et sud-africain, invités par le G8 à une séance de travail le 17 juillet sur le sujet, ont peu ou prou appuyé cette position. « Je suis prêt à demander à mon ministre de faire preuve de la flexibilité nécessaire », a ainsi affirmé le président brésilien Lula, ajoutant toutefois : « Je n'attends pas moins de mes collègues réunis ici ».
De son côté, Jacques Chirac a exclu des gestes supplémentaires de la part de l'UE, sauf, a dit le président français, « en contrepartie de concessions importantes de nos amis américains ou des pays émergents sur le plan agricole ou sur le plan industriel ». Les négociations de l'OMC sont à l'ordre du jour de la réunion de ce mardi 18 juillet à Bruxelles des ministres de l'agriculture des Vingt-cinq, à la demande de la France soutenue par six autres Etats membres.
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