C’est ce qui ressort de la Programmation pluriannuelle des investissements de production électrique (PPI) pour 2005-2015 présentée le 10 juillet par François Loos, le ministre délégué à l’Industrie. Ce développement de l’éolien devra nécessairement avoir lieu majoritairement à terre, le potentiel de l’éolien en mer paraissant plus limité en France.
La biomasse arrive en seconde position, après l’éolien, en terme de potentiel de développement de l’électricité renouvelable : évalué à 1,7 TWh en 2004, l’électricité produite à partir de biomasse pourrait s’accroître de 3 à 6 TWh supplémentaires d’ici 2010 et entre 6 et 11 TWh d’ici 2015, en se fondant essentiellement sur le gisement en biomasse forestière.
Malgré sa forte croissance, le solaire photovoltaïque ne contribuera significativement à la production électrique nationale qu’au-delà de 2015. L’hydroélectricité devra être au moins maintenue.
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