Si l’on en croit les chiffres de TNS, la baisse de consommation de volailles n’a profité ni à la viande de bœuf, ni au veau ni à l’agneau. Seuls les produits tripiers, le bœuf à bouillir et le porc frais ont affiché une progression des volumes sur la période. Cependant, selon l’Office de l’élevage, l’impact de la crise tend à s’atténuer. Les achats de poulets sont pratiquement revenus à la normale.
Par contre, la dinde (hors produits élaborés) demeure en retrait d’environ 20 %. Le canard qui avait subi un choc de grande ampleur en début d’année, a retrouvé une croissance de 10 % conforme à la tendance de début de 2005. Yves Trégaro, responsable des études statistiques, a par ailleurs exprimé le 6 juillet l’inquiétude des professionnels de l’aval sur les difficultés qu’ils rencontrent actuellement pour reconquérir les marchés export en volailles.
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