« C’est un super concours, une super ambiance, avec un bon travail d’équipe » se réjouit Yves. « On se prend vite au jeu. » Avec son fils Jean-Charles, ils sont venu au concours national prim’holstein 2006 de Cherbourg avec une de leur vache, Pellicule. « Une fille d’Esquimau sur Fanzas » précise-t-il.
« La vache qui nous pousse à être là »
« Je n’avais jamais fait de concours, même pas local » raconte l’éleveur, membre du Gaec Denais-Rose (trois associés), à Paimpont (Ille-et-Vilaine). Et puis voilà ! « Nous avons eu la chance d’avoir la vache qui nous pousse à être là. Et j’ai un fils qui aime bien les vaches et qui est motivé par la génétique, donc c’est aussi un peu pour lui. » Et de s’exclamer, les yeux remplis de plaisir : « Pour une première, c’est une bonne première. » Car tous deux repartiront ce soir enchantés, avec un deuxième prix de section.
« C’est un petit plus pour l’élevage » complète Yves. « Je pense que c’est aussi un honneur ; ça valorise notre travail. »
 Yves Denais, avec Pellicule, deuxième prix de section. (© DR) |
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?