L'enquête étudiera plus de 4.000 oiseaux sauvages dans le but de "mieux comprendre" les souches typiques de la grippe aviaire dans les volailles d'Amérique du Nord et de définir un "dispositif d'alerte rapide" en cas d'introduction d'une forme hautement pathogène du virus, a indiqué l'agence d'inspection des aliments (Acia) dans un communiqué.
En novembre, des cas du virus H5 faiblement pathogène avaient été décelés sur des canards sauvages au Québec, au Manitoba, sur la côte Atlantique et en Colombie-Britannique, dans l'ouest du pays. Le Canada centrait jusqu'alors ses recherches sur la migration d'oiseaux sauvages en provenance de l'Asie, mais une attention particulière sera portée jusqu'à l'automne au corridor de migration européen, continent où la souche asiatique hautement pathogène H5N1 a été localisée au cours des derniers mois.
"Les Américains ont établi un programme pour ce qui est de l'Alaska, point où le contact est le plus proche entre l'Asie et l'Amérique du Nord. Nous, nous procédons à quelques échantillonnages dans l'ouest canadien mais ce qui est nouveau, c'est vraiment de regarder du côté de l'Atlantique pour voir ce qui arrive par cette porte-là", a déclaré à l'AFP, Marc Richard, un porte-parole de l'Acia.
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