Instaurée par la loi d’orientation agricole du 5 janvier 2006, l’Interprofession Nationale Génétique des Ruminants, dénommée « France Génétique Elevage », a été constituée le 16 mai 2006.
Instaurée par la loi d’orientation agricole du 5 janvier 2006, l’Interprofession Nationale Génétique des Ruminants, dénommée « France Génétique Elevage », a été constituée le 16 mai 2006 dans un large consensus professionnel.
Fédérant les utilisateurs et les acteurs de la génétique qui ont œuvré pour la refondation du Dispositif Génétique Français (DGF), elle aura un rôle majeur pour mener à bien cette refondation marquée par de profondes ruptures, notamment le désengagement de l'Etat et conforter la performance de la génétique française en l’adaptant aux nouveaux enjeux de l’élevage.
Dans le cadre du partage des responsabilités entre l’Etat et l’interprofession, elle sera chargée du pilotage opérationnel du DGF rénové : mise en œuvre du système de management de la qualité (SMQ) commun à tous les acteurs de la génétique et de l’identification, gestion des systèmes d’information génétique, pilotage de l’interface recherche-développement.
Les décisions en son sein seront prises à l’unanimité des membres. Son fonctionnement repose donc sur le consensus.
Interlocutrice privilégiée des pouvoirs publics, elle sera particulièrement vigilante au respect des engagements de l’Etat dans l’exercice de ses missions régaliennes et entend ouvrir le dialogue avec les autres partenaires.
Par cette initiative, les familles professionnelles membres de l’Interprofession affirment leur volonté de prendre toutes leurs responsabilités dans la construction du futur génétique avec l’ambition de préserver la maîtrise collective de la création et de la diffusion du progrès génétique par les éleveurs.
Composition• Membres constitutifs : |
Fédérant les utilisateurs et les acteurs de la génétique qui ont œuvré pour la refondation du Dispositif Génétique Français (DGF), elle aura un rôle majeur pour mener à bien cette refondation marquée par de profondes ruptures, notamment le désengagement de l'Etat et conforter la performance de la génétique française en l’adaptant aux nouveaux enjeux de l’élevage.
Dans le cadre du partage des responsabilités entre l’Etat et l’interprofession, elle sera chargée du pilotage opérationnel du DGF rénové : mise en œuvre du système de management de la qualité (SMQ) commun à tous les acteurs de la génétique et de l’identification, gestion des systèmes d’information génétique, pilotage de l’interface recherche-développement.
Les décisions en son sein seront prises à l’unanimité des membres. Son fonctionnement repose donc sur le consensus.
Interlocutrice privilégiée des pouvoirs publics, elle sera particulièrement vigilante au respect des engagements de l’Etat dans l’exercice de ses missions régaliennes et entend ouvrir le dialogue avec les autres partenaires.
Par cette initiative, les familles professionnelles membres de l’Interprofession affirment leur volonté de prendre toutes leurs responsabilités dans la construction du futur génétique avec l’ambition de préserver la maîtrise collective de la création et de la diffusion du progrès génétique par les éleveurs.
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés