De même, les mesures spécifiques aux élevages, mises en place après la contamination par le virus H5N1 d'un élevage de dindes à Versailleux (Ain), le 23 février, s'achèveront mardi, a-t-on ajouté de même source. Cette décision fait suite aux recommandations des experts vétérinaires de l'UE, le 23 mars, qui avaient avancé de 4 jours, au 27 mars, la date à laquelle pourrait être supprimée la zone, en raison des "progrès réalisés pour maîtriser" le développement de la grippe aviaire dans cette région.
Les pédiluves, installés à l'entrée et à la sortie de tous les bâtiments d'élevage dans un rayon de 10 km autour de Versailleux depuis le 24 février, ne seront donc plus obligatoires et seuls les oiseaux sauvages font désormais l'objet d'une surveillance particulière. La préfecture a d'ailleurs pris un arrêté lundi pour autoriser les services de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, ainsi que les services qui les assistent dans la collecte des animaux susceptibles d'être atteints par le H5N1, à euthanasier certains oiseaux, "même lorsqu'il s'agit d'espèces protégées".
L'ensemble des volailles de la zone de protection autour de Versailleux (Ain), qui englobait 70 communes, sont de nouveau commercialisables depuis le 18 mars.
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