Selon un scénario, dit " tendanciel ", le cheptel devrait passer de 4 900 000 brebis à 4 090 000 d’ici 2012, soit un recul de 2 % l’an. Cette prévision comprend la création d’environ 2 000 ateliers de 200 têtes, soit un potentiel de 400 000 brebis, et la perte par ailleurs de 1 205 000 brebis dans des exploitations dites " non pérennes ".
Selon une seconde hypothèse plus optimiste, dite " haute ", la baisse du cheptel ovin d’ici 2 012 pourrait être de 0,8 % atteignant un total de 4 560 000 brebis. Il apparaît en tout cas primordial, selon les économistes du Geb, " de poursuivre et d’amplifier les politiques volontaristes déjà en place ", comme la charte de relance ovine ou le plan bâtiments pour éviter une trop grande érosion du cheptel.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?