Lundi 27 février, le gouvernement avait déjà indiqué qu'une vingtaine de pays représentant 5% des exportations avicoles françaises avaient décidé un embargo total ou partiel sur leurs impoprtations, en raison de la détection sur un élevage en France de cas du virus H5N1 de la grippe aviaire. Il s'agissait notamment du Japon, de Hong Kong, de l'Egypte ou du Maroc.
La situation "a évolué depuis", a expliqué le ministère, qui devait préciser dans l'après-midi les nouveaux pays concernés. Les Etats-Unis se sont joints au mouvement en annonçant mardi 28 février, l'interdiction de certains produits avicoles français en provenance du département de l'Ain, région de l'élevage français contaminé. Le ministre français de l'Agriculture Dominique Busserau a indiqué pour sa part devant l'Assemblée, que la France est "mobilisée sur le plan diplomatique auprès de ces pays pour qu'ils puissent réenvisager leurs mesures" et expliqué que les pays "ont mis un embargo sur nos produits parce qu'il y a des accords sanitaires" avec eux.
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