Le gouvernement français va ainsi pouvoir commencer "immédiatement" la vaccination et la poursuivre comme prévu jusqu'au 1er avril, indique la Commission dans un communiqué. La France avait demandé à pouvoir vacciner 900.000 oies et canards d'élevage dans trois départements de l'ouest du pays, la Vendée, la Loire-atlantique, et les Landes, département réputé pour ses foies gras d'oie et de canard.
Les Pays-Bas avaient demandé de leur côté à pouvoir autoriser leurs éleveurs de volailles élevées en plein air qui ne souhaiteraient pas les confiner à procéder à cette vaccination. Parmi les conditions listées par la Commission pour les plans des deux pays --les premiers de ce type adoptés dans l'UE-- figure l'interdiction d'exporter des animaux vivants vaccinés dans le reste de l'UE comme dans le reste du monde.
Par contre, la viande et autres produits dérivés de ces volailles peuvent être exportés normalement, à condition que les élevages d'origine aient respecté les contrôles sévères demandés par la Commission et qu'ils aient été inspectés par un vétérinaire 48 heures avant l'abattage.
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