Le gouvernement français va ainsi pouvoir commencer "immédiatement" la vaccination et la poursuivre comme prévu jusqu'au 1er avril, indique la Commission dans un communiqué. La France avait demandé à pouvoir vacciner 900.000 oies et canards d'élevage dans trois départements de l'ouest du pays, la Vendée, la Loire-atlantique, et les Landes, département réputé pour ses foies gras d'oie et de canard.
Les Pays-Bas avaient demandé de leur côté à pouvoir autoriser leurs éleveurs de volailles élevées en plein air qui ne souhaiteraient pas les confiner à procéder à cette vaccination. Parmi les conditions listées par la Commission pour les plans des deux pays --les premiers de ce type adoptés dans l'UE-- figure l'interdiction d'exporter des animaux vivants vaccinés dans le reste de l'UE comme dans le reste du monde.
Par contre, la viande et autres produits dérivés de ces volailles peuvent être exportés normalement, à condition que les élevages d'origine aient respecté les contrôles sévères demandés par la Commission et qu'ils aient été inspectés par un vétérinaire 48 heures avant l'abattage.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Pourquoi la proposition de budget de l’UE inquiète le monde agricole
Matériel, charges, prix... Dix agriculteurs parlent machinisme sans tabou
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?