"A l'issue du week-end, une dizaine d'analyses était en cours", a indiqué Catherine Dupuy, directrice départementale des services vétérinaires de l'Ain, soulignant que son laboratoire était chargé des analyses préliminaires pour tout le sud-est français. "On a tapé large en raison de la situation", a précisé Mme Dupuy, soulignant que parmi les très nombreux cadavres collectés, seuls étaient analysés les palmipèdes (cygnes, canards, oies) et les oiseaux retrouvés morts par groupe de plusieurs au même endroit et au même moment.
Le virus H5N1 de la grippe aviaire, dans sa forme hautement pathogène et transmissible à l'homme, a été identifié pour la première fois en France samedi sur un canard sauvage retrouvé mort dans l'Ain. Aucun autre cas de grippe aviaire n'avait été recensé lundi, a souligné Mme Dupuy, précisant que l'éventuel diagnostic de grippe aviaire ne pouvait être donné que par l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa), à l'issue d'analyses complémentaires. La mortalité des oiseaux dans l'Ain n'est pas anormale, a de son côté souligné le préfet du département Michel Fuzeau.
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