Face aux fluctuations inéluctables du prix du lait, il faut agir ! Et des solutions existent. Tel est le message que les chambres d’agriculture de Bretagne ont véhiculé lors de quatre journées techniques départementales. Des marges de manœuvre existent pour vivre du lait demain.
Avec des objectifs chiffrés tels qu’atteindre 200 euros/1.000 l d’Ebe (excédent brut d’exploitation) avant main d’œuvre et limiter les annuités sous les 60 euros/1.000 l, les différents intervenants ont mis en avant les marges de progrès disponibles à différents niveaux.
Valoriser, optimiser
Mercredi, l’amphithéâtre de la chambre d’agriculture de Rennes était comble. Des éleveurs attentifs et soucieux de trouver des réponses à leurs attentes ont suivi les différentes interventions. Valoriser, optimiser : Du coût alimentaire au bâtiment en passant par les charges de mécanisation, notamment les coûts de traction en élevage, de nombreuses pistes sont à explorer et des marges de manœuvre existent.
|
|
 Des éleveurs attentifs et soucieux de trouver des réponses à leurs attentes (© Web-agri) |
|
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine