Si la singularité de chaque exploitation a été soulignée à chaque instant, l’accent a été mis tout au long de la journée sur les aspects (nombreux et variés) susceptibles d’être des leviers pour agir sur le coût de revient.
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 Une journée dédiée à la maîtrise du coût de revient (© Web-agri) |
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De nombreuses études et travaux ont été présentés, concluant pêle-mêle :
- au besoin d’adapter les aliments au contexte d’élevage et au stade physiologique des animaux
- à l’existence de marges de progrès pour se rapprocher du potentiel des animaux (remise en cause des plans d’alimentation, application systématique de quelques règles simples de conduite)
- à porter une attention aux conditions d’élevage, susceptibles de brider l’expression du potentiel génétique ou d’entraîner une dérive des frais de santé…
- à l’intérêt économique de se regrouper pour certains investissements (station de traitement)
- à l’intérêt d’optimiser son produit
Les témoignages d’éleveurs ayant modifié certaines de leurs pratiques pour un bénéfice économique certain, on illustré certaines présentations.
Permettre à la filière de rester compétitive
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 P Auffray(© Web-agri) |
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Une journée conclue par Paul Auffray.
« La réussite de l’éleveur est multi-factorielle. Il n’existe pas une solution, mais une multitude sur lesquelles l’éleveur peut travailler avec ses partenaires pour approcher tous les leviers qui agissent sur son prix de revient ». La recherche, au travers de ses travaux sur les performances, reste pour Paul Auffray, le moteur qui devrait permettre à la filière de rester compétitive. Et faisant référence à Hong-Kong en fin d’année, il conclut
« Recherche, innovation et volonté des uns et des autres nous permettront de trouver notre voie et de résister aux bassins naturellement plus compétitifs »
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