Cette étude correspond à un travail effectué sur 1.275 ruches, soit 84 ruchers. Cette étude montre qu’en Wallonie, le taux moyen de perte par rucher est de 16 %. Les analyses multirésidus en cours (50 % des analyses ont été réalisées pour l’instant) ont permis la détection et la quantification de 56 matières actives sur les trois matrices (miel, cire et abeille) à des doses faibles.
Les plus présents sont le carbofuran, le flusilazole, la trifloxystrobine, le méthiocarbe et l’imidaclopride, ainsi que la roténone utilisée pour lutter contre la varroase alors qu’elle n’est pas autorisée. L’étude insiste sur les difficultés de contrôle de la varroase. Elle montre qu’il existe une corrélation significative entre les traitements employés pour lutter contre la varroase et les niveaux de mortalité observés sur le terrain.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?