Un test capable de détecter la maladie au stade pré-clinique serait utile pour s'assurer de la sécurité des stocks de sang destinés à la transfusion ou encore éviter que des animaux contaminés ne montrant encore aucun signe de la maladie de la vache folle (encéphalopathie spongiforme bovine, ESB), n'entrent dans la chaîne alimentaire.
L'équipe de Claudio Soto (université du Texas, Galveston, Etats-Unis), dont les travaux sont publiés dimanche par la revue Nature Medicine, a mis au point un test prototype basé sur la technique dite "PMCA" dans ce but. Le test ne donne aucun résultat faussement positif ("100% spécifique") et sa capacité à diagnostiquer correctement le prion anormal atteint 89%, selon une première évaluation. L'expérience a porté sur du sang de hamster infecté mais les auteurs ont bon espoir de pouvoir appliquer leur technique au sang humain.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?