Dans un communiqué, la SPA accuse le préfet, comme la veille l'association écologiste FNE (France nature environnement), de n'avoir pas respecté les conditions fixées au tir de loups par un arrêté interministériel du 17 juin. "La période de tir d'effarouchement de trois semaines n'a pas été respectée, pas davantage les délais de mise en place de tirs à balles réelles, d'autre part il n'y a eu que deux attaques et non pas trois comme le prévoit le texte" interministériel, écrit l'organisation de défense animale.
La SPA indique qu'elle attaque l'arrêté du préfet, annoncé lundi dernier, devant la justice administrative en référé, en faisant ainsi appel à la procédure d'urgence. Mardi, FNE, la plus grosse organisation écologiste française, avait fait des critiques similaires et indiqué "étudier" un recours judiciaire.
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