"Les races à viande française conviennent particulièrement pour les élevages de types extensifs peu exigeants en main d’œuvre. La facilité d’élevage est leur point fort. La fertilité, la facilité de vêlage, les qualités maternelles, l’aptitude à valoriser les fourrages grossiers, la rusticité permettent de gérer ces troupeaux pour un coût de production très intéressant. A noter toutefois des premiers vêlages plus tardifs et un tempérament plus marqué" a-t-on entendu sur le champ de Foire, alors que commençaient les concours, vendredi 29 juillet après-midi.
"Dans un marché dominé par la race Blanc-Bleu, leur bonne valorisation commerciale passe souvent par la mise en place de filières différenciées : vente à la ferme, autres filières courtes ou pourquoi pas le bio."
|
 La limousine est appréciée pour sa capacité a être valorisée à tout âge (© J.-L. D. ) |
|
|
 La Blonde est appréciée pour son format (© J.-L. D. ) |
|
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Maïs fourrage : « Un silo mal tassé monte rapidement à 15 % de freinte »
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
L’agriculture biologique, marginalisée d’ici 2040 ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique