Mme Olin a visité plusieurs exploitations agricoles puis a participé à la préfecture de Gap à une réunion du Groupe national loup, rassemblant des représentants des services de l'Etat, des éleveurs et des représentants d'associations de défense de la nature. Elle a également annoncé la mise en place de cellules psychologiques. "J'ai vu des gens complètement en détresse, mais qui se sont montrés d'une dignité exemplaire et dans ce cas vous avez doublement envie de les aider", a-t-elle dit.
"Nous allons transférer au préfet des fonds pour que lui-même puisse agir rapidement, quitte à instaurer des contrôles a posteriori", a indiqué la ministre au sujet des dédommagements. De son côté, l'Association pour la protection des animaux sauvages (ASPAS), qui défend le loup, a demandé vendredi au tribunal administratif de Marseille la suspension d'un arrêté préfectoral autorisant l'abattage de deux loups dans les Hautes-Alpes. Le tribunal, saisi en référé, se prononcera la semaine prochaine sur cet arrêté autorisant l'abattage d'un loup dans le massif du Dévoluy et d'un autre dans le massif du Queyras.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?