L'autoconsommation continue de représenter environ 10 % de la consommation globale française, alors que les achats d’oeufs en coquille par les ménages représentent environ 40% de la consommation globale et les achats d’oeufs en coquille par la RHD environ 20%. La consommation serait quasi stable sur le premier trimestre 2005.
Dans un contexte de stabilité de la consommation globale d’oeuf sur la dernière décennie, on observe une érosion de 1.2% par an de la consommation sous forme d’oeufs en coquille et une progression de 3.8 % par an de la consommation sous forme d ’ovoproduits. La part des ovoproduits dans la consommation globale est ainsi passée de 20% il y a dix ans à 28% aujourd’hui.
Si l ’on prolonge la tendance à l’érosion de la consommation sous forme d’oeufs en coquille, en tablant sur une stabilité de la consommation globale, la part des ovoproduits atteindrait 35% de la consommation globale en 2012 (année de disparition des cages non aménagées).
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?