Leur utilisation tend à se développer en élevage

C’est ce qu’indique Agreste dans sa note de conjoncture du mois de mars. « Quand la production d’aliment augmente plus vite, ou diminue moins rapidement, que l’effectif du cheptel auquel elle est destinée, on peut en déduire que ce mode d’alimentation se développe dans l’élevage concerné », explique Agreste. C’est le cas pour la plupart des productions.

Depuis 1999, on observe un léger tassement de la production des aliments composés.

Cependant indique Agreste, « le repli des tonnages d’aliments composés produits (– 1 % entre 1999 et 2003) paraît plus modéré que celui des cheptels  (– 5 % pour les bovins et les ovins-caprins, – 1 % pour les porcins) ou les abattages (– 5 % pour les volailles entre 1999 et 2003) ».

Pour en savoir plus :

Lire « La production d'aliments pour animaux résiste à la baisse des cheptels », par Agreste, en cliquant ICI.

Aperçu des marchés
Vaches, charolaises, U= France 7,14 €/kg net +0,04
Vaches, charolaises, R= France 6,99 €/kg net +0,05
Maïs Rendu Bordeaux Bordeaux 190 €/t =
Colza rendu Rouen Rouen 465 €/t +3

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