« La forme infectieuse du prion, rencontrée dans les maladies telles que les encéphalopathies spongiformes bovines (ESB) ou maladie de la vache folle, a été localisée pour la première fois dans des tissus où on ne l’avait jamais détecté, ce qui pourrait remettre en cause les tests de dépistage de la maladie et les mesures de prévention qui accompagne la consommation de viande bovine » résume la journaliste.
Tant que le prion n'est pas présent dans le cerveau
Ce débat fait suite aux travaux de recherche menés par une équipe suisse et publiés dans le journal Science. Par exemple, rapporte l'article de Futura-Sciences, des souris diabétiques infectées par le prion ont accumulé la protéine infectieuse dans le pancréas, alors qu'il n'est pas atteint chez les souris en bonne santé soumises au même traitement.
D'où une possible remise en cause des tests de dépistage actuels, qui présupposent « que chaque animal incubant la maladie ne présente pas de risque aux consommateurs tant que le prion n’est pas présent dans le cerveau ».
L'intégralité de cet article est à lire sur le site de Futura-Sciences.com ; lien direct vers l'article actuellement en cliquant ICI.
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