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 Didier Thouny, «ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier» |
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Pour nourrir les animaux, « le maïs fourrage représente 75 % de la ration », ce qui représente en surface 15 hectares dans ce Gaec à vocation lait et céréales.
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Gaec de la Garde (deux associés) :
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« Nous choisissons des variétés avec de bons critères de digestibilité, d'UFL », explique Didier Thouny et aussi
« suivant la précocité, car nous ne voulons pas récolter trop tard ».
« Chaque année nous semons 2 à 3 variétés au moins... pour ne pas mettre tous nos oeufs dans le même panier. »
« Nous nous fions aussi aux conseils du commercial » ajoute-t-il : « Il nous renseigne sur les réussites locales, d'une année sur l'autre, si une variété marche bien. L'année dernière nous avions deux variétés PR38A24 et LG3458. Nous tablons dans les variétés que ces semenciers considèrent comme les plus adaptées au fourrage. »
Mais pour Didier Thouny, il n'y a pas que la variété qui fait un bon fourrage. « Le stade de récolte joue beaucoup sur sa valeur et son taux de matière séche. Aussi on analyse l'ensilage tous les ans environ quinze jours après l'ouverture du silo. Cela permet d'ajuster la complémentation de la ration. »
Retrouvez le dossier spécial:
Maïs fourrage 2005 - A chacun son maïs ! en cliquant ICI.
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