En novembre 2004, le cours des oeufs de calibre moyen, mesuré par la cotation TNO du journal « les marchés », a progressé de 20 % par rapport à octobre 2004 mais a été inférieur de 30 % à la moyenne des cinq mois de novembre précédents. La production restera importante au quatrième trimestre 2004. Elle sera supérieure de près de 6 %, en France comme dans l’UE, à celle de la même période de 2003. En France, les mises en place de poulettes pour la ponte se sont nettement orientées à la baisse à partir du mois de mai. En cumul de mai à septembre, le repli atteint 10 % en glissement annuel. L’impact de cette baisse des mises en place devrait se faire sentir sur la production du printemps
2005.
Au cours des neuf premiers mois de l’année 2004, les exportations françaises d’oeufs en coquille (23 000 tonnes) sont en repli de 31 % en glissement annuel. Les importations (49 000 tonnes) régressent de 14%. Nos ventes reculent de 42 % vers l’Allemagne, notre premier client, et de 44 % vers le Royaume-Uni.
Dans le secteur des ovoproduits alimentaires, les exportations des neuf premiers mois de 2004 (48 000 teoc) baissent de 4% par rapport à l’année précédente alors que les importations (38 000 teoc) progressent de 13 %.
Nos ventes sont en net repli sur la Belgique (– 40 %) mais progressent de 31 % sur l’Allemagne qui devient notre premier client.
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Ils rétrofitent un John Deere en électrique : le verdict après un an d’utilisation
Dermatose dans le Rhône : de nombreuses races renoncent au Sommet de l’élevage
En Suède, la ferme historique DeLaval passe de 250 à 550 vaches laitières
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Comment préparer une vache à la césarienne
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »