Ce texte demande notamment à la Commission Européenne de revoir les procédures d'homologation des produits phytosanitaires et de «prendre des mesures préventives en ce qui concerne les nouvelles générations de neurotoxiques rémanents».
Elle demande une collaboration de la recherche européenne pour réaliser une étude multifactorielle européenne. Elle plaide pour la mise en place d'un «comité d'experts spécialisés en apiculture reconnus au niveau international» qui serait chargé d'adapter les procédures d'homologation.
Elle estime que les problèmes des apiculteurs concernent également les agriculteurs et les consommateurs car les uns et les autres seraient victimes en cas de contamination des aliments. Par ailleurs, à Saint-Gaudens, le procureur de la République vient d'étendre l'instruction ouverte (suite aux mortalités anormales d'abeilles en région toulousaine) pour «mise en vente de produits toxiques pour l'homme et l'animal» et «destruction de bien appartenant à autrui», aux départements de l'Indre et Loire, de la Vendée et de la Mayenne.
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