Cette année, il est question « d’après sécheresse », sur le stand Jouffray-Drillaud à Cournon.
«Rénovation des prairies dégradées, sur-semis de printemps, entretien… toutes les solutions pour tirer au mieux partie des ressources naturelles de l’herbe, en dépit des derniers stress hydriques, seront évoquées», indique Didier Delahaye, Directeur Marketing et Communication de la société.
Le Sommet de l’élevage est également «l’occasion de représenter aux éleveurs le 10 pages, qui traite de la rénovation des prairies» ajoute Didier Delahaye qui précise que ce document de référence est disponible sur simple appel, au siège de Cissé (86).
«La gamme de lupins blancs d’hiver Jouffray-Drillaud aura bien évidemment sa place, dans le bassin d’élevage qu’est le Massif Central», explique Didier Delahaye. Parce qu'elle est «tolérante au froid et précoce, cette nouvelle culture reste plus que jamais une opportunité pour les éleveurs de par ses qualités nutritionnelles», assure Jouffray-Drillaud.
Le semencier présente également des alternatives aux systèmes fourragers classiques. Sorgho fourrager, moha… extrait de son catalogue et «dont l’implantation au printemps pourra, particulièrement cette année, ouvrir des perspectives intéressantes aux éleveurs» précise-t-on chez Jouffray-Drillaud.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?