L’applicateur d’inoculant «Appli-pro® ULV» a été développé pour permettre l’incorporation de conservateurs microbiologiques d’ensilage à très bas volume.
Ce système d’application est basé sur l’utilisation d’un atomiseur micro-volume, d’une pompe volumétrique et d’un boîtier de contrôle. La spécificité du système réside dans l’utilisation d’un atomiseur breveté permettant la diffusion d’un nombre supérieur de gouttelettes, d’une taille plus fine comparé à une buse normale. |
|
Le débit est garantit par une pompe volumétrique assurant un débit constant et précis. Un boîtier de contrôle placé dans la cabine de l’ensileuse permet d’assurer le contrôle du système et d’adapter en continu le débit de traitement en fonction de la quantité de fourrage à traiter. Il permet aussi d’assurer le rinçage et le nettoyage de l’ensemble du système.
Ce système que Pioneer qualifie de «révolutionnaire» permet : « de diminuer très fortement les volumes d'eau nécessaires à l'application d'un inoculant soluble et d'assurer une répartition homogène du produit dans l'ensilage grâce à sa pulvérisation en micro-gouttelettes :
- 30 millions de gouttelettes / ml
- 10 ml par tonnes de Maïs Fourrage ou de Maïs grain humide
- 2,5 l pour 250 tonnes de maïs Fourrage ou de Maïs grain humide.»
«Facile à monter, adaptable sur de nombreux modèles d'ensileuses , ne nécessitant pas de réservoir d'eau supplémentaire, Appli-pro® ULV permet une application précise de l'inoculant 1188» affirme Pioneer.
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
Désormais, il s'agit d'« optimiser chaque heure de travail »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine