Dans un article paru dans le Jura Agricole et Rural, Arvalis - Institut du végétal fait le point, sur les cultures fourragères qu’il est possible de semer en «dérobé» sur les parcelles récoltées tôt.
«Bien souvent, le ray grass d’Italie alternatif représente la meilleure solution » estime Arvalis qui précise que dans tous les cas : «l’implantation puis la croissance de la culture dérobée dépendront de la pluie ou de l’irrigation si elle est possible».
Pour pâturer, Arvalis préconise plutôt le colza fourrager qui «présente l’avantage d’avoir un cycle court de l’ordre de 2 à 2.5 mois » ou le ray grass d’Italie alternatif pour lequel il existe «des variétés de courte durée (6 mois) qui ont encore une vitesse d’installation plus rapide».
Pour ensiler et éventuellement pâturer les repousses, c’est aussi le ray gras d’Italie alternatif que propose Arvalis car il «pousse très rapidement une fois implanté».
Dans tous les cas, Arvalis conseille de semer le plus vite possible, «si possible dans les 24 heures après la récolte », peu profond et à la volée, puis de rouler et d’irriguer une fois si possible pour activer la levée.
Pour plus de détails sur les conseils de semis, ou pour les commentaires et conseils d’Arvalis concernant d’autres espèces à semer en culture dérobée, lire en intégralité l’article de Luc Pelce et Nathalie Bigonneau d’Arvalis- Institut du végétal, paru dans le Jura agricole et Rural, en cliquant ici.
Retrouvez les palmarès des concours bovins du Space 2025
Dans le Cotentin, « nous vivons avec 30 vaches et 30 hectares chacun »
Madison sacrée grande championne Holstein sur le ring du Space 2025
Logiciel, lactosérum, pailleuse… 4 inventions d’éleveurs primées au Space
Désormais, il s'agit d'« optimiser chaque heure de travail »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Comment préparer une vache à la césarienne
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine