D’après un sondage réalisé sur Web-agri du 15 au 22 mai 2018, l’insémination artificielle reste la méthode de reproduction la plus prisée par les éleveurs. En effet, 77,8 % des éleveurs bovins (laitiers et allaitants) y ont recours. Parmi eux, un quart pratiquent l’IPE (insémination par l’éleveur). Selon les chiffres de l’Institut de l’élevage, ce modèle tend d'ailleurs à se développer (en 2016, ils étaient 4 400 éleveurs à pratiquer l’IPE). Les formations se multiplient alors pour acquérir les savoir-faire de l’inséminateur.
Si la monte naturelle concerne principalement les éleveurs allaitants, quelques taureaux sont également présents dans certaines fermes laitières, notamment pour les rattrapages ou la détection des chaleurs. Ils sont alors soit mis en permanence avec le troupeau ou soit restent à l’écart en n’intervenant que lorsque cela est nécessaire. À l’inverse, sur des troupeaux à viande, le taureau reste prioritairement utilisé même s’il nécessite quelques précautions afin de manipuler les animaux en toute sécurité.
Il intègre 5 % de pommes de terre dans son silo de maïs ensilage
Tendances saisonnières : l’hiver 2025-2026 sera-t-il pluvieux ou sec ?
Fermeture de l’export de bovins : « les acheteurs vont en profiter pour faire baisser les prix »
Récolte 2025 : « une situation particulièrement alarmante » pour les producteurs de maïs grain
Y a-t-il vraiment un plafond de verre pour le prix de la viande bovine ?
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine
Logettes ou aire paillée ? Comment sont logées les vaches laitières françaises
Après la Prim’Holstein, la Génétique Haute Performance débarque en Normande
Avant même la ratification, les importations de viande du Mercosur bondissent
Avec 1 % de marge nette, l’industrie laitière française « fragilisée »