« Mea Culpa »

Dans ma dernière chronique, j'en avais après la terre entière, en particulier après le monde du lait. En effet, alors que tous les voyants laitiers clignotaient au vert, les tergiversations des uns et des autres laissaient à penser que nous ne verrions pas l'embellie. Comme par miracle, au moment du Salon de l'agriculture, fin février à Paris, les différents protagonistes tombaient d'accord pour un lait à 380 €/1 000 l de moyenne sur 2014. À voir ! Bizarre, à la veille des grands salons (Space à Rennes, Sommet de l'élevage à Cournon, etc.), les négociations aboutissent souvent à un consensus ! Voudrait-on acheter la paix sociale pour ne pas troubler la fête ? La grande distribution ne baisse pas les bras si vite et remet déjà la pression. Je persiste à penser que ce n'est pas le prix qui fait le revenu mais bien la différence entre le produit et les charges.

PASCAL POMMEREUL, PRODUCTEUR EN ILLE-ET-VILAINE

Aperçu des marchés
Vaches, charolaises, U= France 7,05 €/kg net +0,06
Vaches, charolaises, R= France 6,92 €/kg net +0,08
Maïs Rendu Bordeaux Bordeaux 190 €/t =
Colza rendu Rouen Rouen 465 €/t +3

Météo
Thomas Pitrel dans sa prairie de ray-grass

« La prairie multi-espèce a étouffé le ray-grass sauvage »

Herbe
Philippe Bernhard à droite et Hervé Massot président et DG d'Alsace Lait

Alsace Lait a besoin de lait pour ses ambitions régionales

Alsace Lait

Tapez un ou plusieurs mots-clés...