 Le plus grand intérêt de couverts multi-espèces réside dans la possibilité d’associer des familles d’espèces ayant un fonctionnement différent vis-à-vis de l’azote. Ici, un mélange d'avoine fourragère et de vesce commune. (© Arvalis)
|
De nombreux critères agronomiques existent pour choisir son couvert, mais certains sont fondamentaux. Pour faciliter votre prise de décision, l'outil "Choisir son couvert selon quelques critères simples" est disponible en ligne. Il dresse une liste de cultures intermédiaires adaptées à la situation agronomique de la parcelle définie ici par le système de culture, la culture qui suit, la plage de semis et la valorisation fourragère ou non.
En complément, des fiches synthétiques présentant les cultures intermédiaires espèce par espèce vous sont proposées. L'accent est mis plus particulièrement sur la facilité d'implantation et de destruction des différents couverts.
Enfin, le mélange de plusieurs espèces de couverts peut être une stratégie intéressante. Des synergies existent dans le cas d’associations de légumineuses avec des non-légumineuses. Cependant, quelques règles sont à respecter pour tirer le maximum de bénéfices de ces associations. La dose de semis est à adapter en fonction du nombre d’espèces dans le couvert et de l’objectif recherché. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien "Mélanges d'espèces de couverts : quelles règles ?"
Ils rétrofitent un John Deere en électrique : le verdict après un an d’utilisation
L’armoricaine, support de formation au lycée La Touche
La dégradation de la conjoncture menace le prix du lait
Grâce à une rampe de chargement, Patrick Feuillet paille « avec un seul tracteur »
Le géant Lactalis marche sur des œufs
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
Comment préparer une vache à la césarienne
Face à une perte de compétitivité inédite, accompagner davantage les agriculteurs
Retraite agricole : les réponses aux questions que vous vous posez
Le Grand Ouest met la main à la poche pour la recapitalisation bovine