La génomie a eu la peau des présentations de descendances, qui rythmaient hier le début d’année des montbéliards. On venait y jauger les plus et les moins des taureaux d’IA en activité. Les expos Umotest et Jura-Bétail ont ainsi changé de format. Pas celle de Montbéliarde Sélection, le Petit Poucet de la montbéliarde ( 8 à 10 taureaux testés/an , 20000 doses).
« Ne pas vendre du rêve »
C’est ainsi que le Juraparc de Lons-le-Saunier a vu des filles Brésil, Guyon, JP006, Idol et Janeiro MS. Et avec des lots fournis de 6 à 12 filles… Un détail auquel tiennent les MS, pour bien apprécier les taureaux à utiliser. Ce format à l’ancienne correspond aussi à leur choix de concevoir le génotypage juste pour présélectionner leurs candidats au testage, de les employer d’abord sans diffuser les index génomiques, et avec, seulement quand le taureau a confirmé. « Le génotypage identifie les gènes, il ne prédit pas leur transmission. Et on ne veut pas vendre du rêve », justifient-ils.
L’Europe cède sa place à l’Amérique du Sud sur le marché des broutards au Maghreb
Au Gaec Heurtin, l’ensilage de maïs 2025 déçoit avec seulement 9 t/ha
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
Le marché du lait Spot s’agite avec la rentrée
FCO : le Grand Ouest en première ligne
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
Quelle évolution du prix des terres 2024 en Provence-Alpes-Côte d’Azur ?
La « loi Duplomb » est officiellement promulguée
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?
L’Iddri suggère de briser « l’ambivalence » des chambres d’agriculture en matière de transition agroécologique