Sac Christensen a joué depuis trois ans sur de petits réglages pour gagner encore sur le temps de branchement et la durée de la traite en général. La fluidité du mouvement du bras a ainsi été améliorée. Aujourd’hui, le constructeur mise surtout sur la performance du logiciel. Les clients reçoivent régulièrement des mises à jour. Les diagnostics de fonctionnement de la machine orientent vers de la prévention pour réduire les pannes. Les données enregistrées vache par vache permettent d’optimiser le temps de traite de chacune. Par exemple, certaines vaches sont plus longues à traire à l’arrière qu’à l’avant. On peut programmer le robot pour laver et brancher les quartiers arrière en premier. Le lavage est individualisé par trayon.
Il est possible de jouer aussi sur la plage horaire durant laquelle une vache est acceptée au robot, pour tenir compte de son stade de lactation afin de limiter l’accès pour celles qui produisent moins.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?