C
e mode d’élevage se développe, en effet, surtout auprès des jeunes. Il est très lié à un contexte pédoclimatique qui correspond plus ou moins au centre Bretagne et à la Normandie. Certains collecteurs de lait bio refusent cette saisonnalité. C’est l’une des raisons pour laquelle des jeunes nous rejoignent. C’est un peu plus complexe à gérer et demande à nos équipes de s’adapter. Mais nous pouvons encore accueillir ces fermes. Elles sont une cinquantaine. Le volume de lait qu’elles représentent est plutôt faible. Ce n’est donc pas ça qui déstabilise la valorisation du lait de printemps. L’impact est global : toutes les fermes Biolait misent sur le pâturage et augmentent leur production à cette saison. Le problème de valorisation du lait est avant tout lié au recul de la consommation.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?