Selon une enquête de l’OP Caplait auprès de ses adhérents hauts-normands fin 2021, 61 % disent être peu ou pas satisfaits de leur relation avec Danone et 73 % estiment qu’elle s’est détériorée depuis dix ans. « L’entreprise mène une politique de court terme et prend des décisions contradictoires, reproche l’un d’eux. Il est compliqué de se projeter au-delà de trois ans. » Pour preuve, le dégel en 2022 de l’intégralité des volumes prélevés en 2018 afin de répondre aux besoins de 15 Ml supplémentaires du site de Ferrières-en-Bray (Seine-Maritime). « J’avais acheté un contrat pour me développer », soupire-t-il, tout en se réjouissant de ce retournement inattendu.
Le blues des livreurs de Danone
Article réservé aux abonnés.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?