Selon Terrena, les consommateurs acceptent de payer 15 % de plus un produit qui défend l’environnement, la biodiversité ou le bien-être animal. « C’est notre point de repère pour faire évoluer notre modèle et prendre en compte nos surcoûts. Au-delà, nos ventes chutent », a indiqué le groupe coopératif au colloque sur la relation homme-animal de LIT Ouesterel (ci-dessus). Carrefour, lui, est plus optimiste : « On peut les dépasser si l’on apporte au produit une notion de plaisir supplémentaire. »
Une hausse de 15 % pour les pratiques vertueuses, pas plus
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