La sanctuarisation du prix du lait auquel pourrait aboutir le projet de loi Égalim 2, en cours d’examen, ne poserait pas de problème à la Fnil… si les coûts industriels l’étaient aussi. En l’état, ses adhérents craignent de se retrouver en négociation tarifaire avec les GMS pour discuter de leurs seuls coûts de production. Via l’Ania, la Fnil plaide donc pour que le tarif global reste le seuil de cette négociation. Et elle propose, en contrepartie, qu’un tiers de confiance puisse valider de façon neutre l’augmentation de tarif obtenue et le mix-produit de l’industriel. Cela de façon à ce qu’il puisse ensuite revenir négocier en toute transparence avec ses OP.
Les industriels privés sur le reculoir
Article réservé aux abonnés.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
Le biogaz liquéfié, une solution pour les unités de cogénération dans l’impasse
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?