L’Institut de l’élevage nous éclaire sur les conséquences du ralentissement de la production laitière française qui réduit, de fait, l’excédent de lait des transformateurs. Pourtant, ils ont globalement maintenu leurs exportations, mais avec davantage de produits à forte valeur ajoutée (laits infantiles, laits fermentés, crème, etc.) et moins d’ingrédients laitiers. D’ailleurs, les exportations françaises augmentent nettement en valeur au premier trimestre. Dans cette configuration qui pourrait durer, interrogeons-nous à nouveau sur la pertinence du « prix du lait allemand » et de la « valorisation beurre-poudre », les deux indicateurs qui servent à qualifier les exportations dans les formules de calcul du prix du lait.
Quelle crédibilité pour les indicateurs de l’export ?
Article réservé aux abonnés.
« J’ai opté pour un système très simple car c’est rentable »
Réformer ou garder ? 26 éleveurs dévoilent leur stratégie de renouvellement
Le vêlage 2 ans n’impacte pas la productivité de carrière des vaches laitières
270 000 vaches dans le désert algérien, est-ce vraiment possible ? Un agronome décrypte
« J’ai gagné presque un mois d’IVV grâce aux colliers de détection de chaleur »
« Pas d’agriculture sans rentabilité ! », rappelle la FNSEA
La FNSEA appelle à « une grande journée d'action » le 26 septembre
John Deere, Claas, made in France… À Innov-Agri, il pleut aussi des nouveautés
T. Bussy (FNSafer) : « Beaucoup de monde pense que la Safer, c’est opaque »
Quelles implications environnementales de la proposition de l’UE pour la Pac ?