Dans le cadre de sa démarche « France terre de lait », le Cniel a défini les règles de base minimum à respecter pour obtenir l’appellation « lait de pâturage » : 120 jours de pâturage/an, 6 heures/jour et 10 ares/vache. Une définition très proche de celle en vigueur en Europe du Nord.
L’interprofession a également défini un cahier des charges du lait sans OGM. Ici, il s’agit d’une démarche prévoyant des contrôles par un organisme certificateur, de l’exploitation jusqu’à la laiterie. Cette réglementation nationale prévoit un délai de conversion de six mois, et l’interdiction de conduire sur une même exploitation un autre atelier bovin nourri avec des OGM. Sachant que l’Allemagne prévoit trois mois de conversion, le Cniel fait pression au niveau européen pour harmoniser la définition du non-OGM, et ainsi prévenir les risques de distorsion de concurrence.
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