Les travaux de construction
de mon bâtiment avancent bien. La couverture devrait s’achever fin juin, et j’espère mettre en service en août. Cela représente cinq mois de retard par rapport à ce qui était prévu, d’une part à cause du Covid, mais aussi à cause de certaines entreprises. Je pense que le budget sera dépassé d’environ 10 %. Le bois a coûté plus cher car je n’ai pas pu avoir de contrat. Sur les tubulaires, je ne sais pas encore si les tarifs que j’ai signés seront respectés. J’aurais bien aimé éviter ces retards, j’avais des stocks de fourrages et j’aurais pu produire davantage ce printemps, alors que le prix du lait est intéressant. On est à 500 €/tonne (34/40) au mois d’avril. La première coupe d’herbe s’est faite dans de bonnes conditions, on a perdu du rendement dans les terres sableuses en raison du temps sec. Mais depuis la mi-mai, il est tombé 60 mm de pluie, juste au bon moment pour l’herbe et les céréales.
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?