Tous mes animaux sont dehors
avec de l’herbe en plat unique. Il reste huit vêlages. Je suis content, c’était bien groupé. Je n’ai dû intervenir qu’une fois, pour des jumeaux. Le marché des veaux est compliqué. C’est dommage parce que j’en ai des jolis, Angus et Hereford. Les vingt femelles de renouvellement sont dehors, avec leurs nourrices. J’ai dû remplacer une vache mais pour le reste, ça fonctionne bien. Le troupeau est à 25 litres de lait par jour à fin avril, à 41 de TB et 33 de TP. On commence la mise à la reproduction en espérant voir plein de chaleurs dans les quinze jours. Ensuite, les taureaux prendront le relais. J’appréhende, car les quatre sont des nouveaux de 14 mois, que je trouve petits. La pousse de l’herbe est à la traîne, faute de pluie. Les semis à la volée derrière le ball grazing, réalisés tôt et avec de mauvaises conditions, n’ont pas fonctionné. Je ressèmerai à l’automne si rien n’a poussé.
Le Herd-Book Charolais propose un outil pour prévoir la longévité des vaches
Les anomalies génétiques qui impactent le troupeau laitier français
Les élevages bovin viande bio rentables, malgré seulement 0,05 €/kg de plus qu’en conventionnel
« Nous avons investi 1,1 M€ pour avoir une vie normale »
Les députés adoptent une série d'amendements attendus par les agriculteurs
L'Union européenne veut renforcer le soutien aux jeunes agriculteurs
Savencia et Eurial réduisent ensemble leur empreinte carbone
Forte tension sur les engrais azotés : les prix flambent en Europe
Qui sont les gagnants et les perdants de la Pac 2023-2027 ?
Comment inciter les éleveurs à se lancer en bio ?