L’année commence mal. Un nouveau confinement qui se profile, le couvre-feu, la flambée des protéines et un prix du lait qui ne décolle pas. Le printemps approche, et on positive en pensant à la sortie des vaches. Après une première année de traite robotisée, le bilan est concluant. Nous sommes passés de 9 500 à 12 500 litres, avec un maintien des taux. Nous sommes soulagés de voir que le sanitaire a également suivi et que le coût alimentaire se maintient à un niveau correct. Pour continuer à travailler sereinement, nous attendons une augmentation nette du prix du lait. Un prix qui prenne enfin en considération nos coûts et une juste rémunération. Quid des EGA ? On les oublierait presque… Il est plus facile pour l’État d’augmenter chaque année le prix du timbre-poste que celui du lait ! Et donc de laisser les producteurs tirer encore sur leurs charges pour s’en sortir ! »
« On ne peut compter que sur nous-mêmes »
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