Dans un document de 4 pages, l’agence affirme que « le risque immédiat que représente ce foyer pour la France et l’ensemble des Etats-membres de l’Union Européenne, dépend essentiellement de la capacité des autorités britanniques à le contrôler ». Les experts estiment en effet que « l’origine de l’introduction du virus est plus vraisemblablement à rechercher dans le transport du virus par des oiseaux domestiques et/ou des supports passifs (litières, cages, véhicules, …), comme cela a été classiquement reconnu au cours des épisodes précédents d’Influenza aviaire hautement pathogène en Europe ». Sur la base des informations dont elle dispose actuellement, l’Afssa considère que « le niveau de risque actuel pour la France doit passer de négligeable à faible (2a), bien qu’il n’y ait pas de cas reconnu dans l’avifaune sauvage ». Les mesures associées à ce niveau de risque portent en particulier sur le renforcement de la surveillance active et passive par les professionnels des mortalités d’oiseaux sauvages ainsi que sur l’interdiction du transport des animaux appelants.
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